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Écrit par : Cyril A.

Publication : 26 octobre 2022

Mis à jour : 26 octobre 2022

Un des plus grands rendez-vous français du trail est le Festival des Templiers, à Millau, offrant de nombreuses courses aux athlètes souhaitant y participer. Cette année, Olivier Lelong et Patrice Ringot étaient au départ de deux de ces courses.

Olivier était au départ du Marathon des Causses le samedi 22, une épreuve de 35 km avec plus de 1500 de dénivelé positif. Après 2h de course avec de très bonnes sensations et une bonne allure, il attrape des crampes brusquement, qui le force à ralentir la cadence. Malgré les difficultés, il parvient à l'arrivée en 5h00'01 de course, à la 180ème place (33ème M1-M2M).

Le lendemain, c'était au tour de Patrice d'entrer en action, sur le Grand Trail des Templiers et ses 81 km (3500 m de dénivelé positif). Un balade après les 165 km de sa dernière course ! Il prend la 133ème place (80ème SEM) en 10h21'26 de course.

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Photos (payantes) sur Maindru Photo

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Écrit par : Cyril A.

Publication : 25 octobre 2022

Mis à jour : 1 novembre 2022

Le marathon est une épreuve ingrate. Elle demande de longues semaines de préparation et un petit grain de sable peut enrayer une mécanique parfaitement affûtée au jour de la course. C'est malheureusement ce qui est arrivé à Primo Pohin, dont l'entraînement sérieux et régulier de ces derniers mois lui permettait d'envisager une bonne performance à Venise, dimanche dernier.

Après une première moitié de course parfaitement maîtrisée et dans les temps envisagés, Primo doit interrompre son effort au 26ème km. Après avoir marché quelques kilomètres, il reprend à courir progressivement, pour rejoindre l'arrivée, qu'il franchit en 4h05'40".

Bonne récupération, toutes ces semaines d'effort n'auront quand même pas été vaines et serviront pour les compétitions à venir !

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Écrit par : François Chrétien

Publication : 25 octobre 2022

Mis à jour : 25 octobre 2022

Il y avait bien 4 valenciennois pour le retour de la course de la citadelle à Wormhout ce dimanche 23 octobre. Deux au départ de Valenciennes, en fin de nuit à 6h30 pour une arrivée toujours avant le levé du jour a 7h45. Après le désistement de Stéphane Bornat (pour qui nous avons pu récupérer son lot quand même) nous sommes tombés sur un valenciennois du valenciennes triathlon. Avec qui nous avons pu faire l’échauffement matinal juste avant le départ du semi-marathon à 8h45. Sur cette épreuve nous retrouvons William Samson en préparation pour le marathon de Valence. A son rythme il a très vite distancé l’ensemble du peloton pour franchir la ligne en première position avant plus de 4mn d’avance sur le deuxième. Il franchi la ligne en 1h13mn03 et cela dans le vent (forte rafale a plus de 40km/h) et sous une pluie très fine. 15mn plus tard c’est autour du 10km de s’élancer l’on y retrouve François Chrétien qui a été vite mis en difficulté dans le vent, terminant 30ime en 41’47. 15 minutes plus tard c’est autour de Charles Philips venu en famille, de prendre le départ du 5km, il y réalise un super chrono de 17’00’’ (record perso a la clé) il se classe 4ème mais 3ème de sa catégorie.

Les départs échelonnés de 15mn font que chacun arrive en même temps sur la zone d’arrivée puis dans la salle pour le ravitaillement d’après course, vers 10h30. Il aura fallu attendre presque 2h pour assister la cérémonie de remise de récompense. Le temps de faire connaissance avec tout le monde et avec la boisson locale du coin (une boisson commençant par B). S’en vient alors une longue cérémonie de remise de récompense 5km, 10km et enfin semi ou William récupère ses lots. Wormouth étant une petite ville, il n’y avait qu’un seul restaurant rapide ouvert le dimanche après-midi, forcement très vite débordés alors les deux compères William et François se sont exilés a Meteren pour trouver quelques chose de correct. Retour a Valenciennes à 16h. Une sacrée expédition.

Au niveau de la course, c’est la première fois que les organisateurs proposaient un 10 kilomètres et un semi (11km auparavant). Très bien organisé, dans la campagne de Wormouth avec vu sur le mont Cassel. Un parcours dans les champs exposé au vent avec de longues lignes droites, animé avec des groupes de musiques avec un nombre de participants conséquent au départ de la totalité des courses (750) de quoi aller vers un label pour la prochaine édition ?

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Écrit par : Cyril A.

Publication : 18 octobre 2022

Mis à jour : 18 octobre 2022

Merci Patrick pour la photo

Plusieurs de nos coureurs ont été découvrir dimanche dernier les nouveaux parcours des Foulées Onnaingeoises, organisées en hommage à Jean-Philippe Balleux, l'emblématique président de l'ASA Onnaing disparu il y a un peu plus de deux ans.

Sur le 10 km, Eddy Derycke prend la 4ème place (1er M2M) en 36'28, devançant ainsi la majorité des 134 participants à cette course. Un peu plus loin, nous retrouvons Jean-Philippe Hanquez, qui disputait cette course pour évaluer son niveau. Il se classe 20ème (8ème M1) en 41'19, quelques places devant un autre de nos nouveaux licenciés, qui lui enchaîne les compétitions, Zouheir Souissi, 26ème (3ème M0M) en 43'35. Après avoir fait sa sortie longue sur le parcours du semi-marathon de Marchiennes, Primo Pohin peaufine sa préparation pour le Marathon de Venise (qui aura lieu dimanche prochain) sur ce 10 km, en franchissant la ligne d'arrivée en 47'28, se classant 53ème (8ème M2M). Première référence pour Lucie Carlier depuis qu'elle a rejoint l'USVA : elle prend la 114ème place (3èem SEM) en 58'03.

Sur le 5 km, Hugo Canonne étrenne son nouveau maillot du club en finissant 12ème (2ème CAM) en 19'59, sur 60 coureurs. Suivent deux piliers du club : Bruno Thiollet finit 33ème (2ème M5M) en 25'36 et Michel Hardy 57ème (1er M8M) en 34'22.

Félicitations à tous !

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Nombreuses photos sur la page Facebook de l'ASA Onnaing

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Écrit par : Cyril A.

Publication : 17 octobre 2022

Mis à jour : 17 octobre 2022

Un marathon est une aventure. Que ce soit le premier, le 10ème ou bien plus, c'est une épreuve sur laquelle tout peut arriver, quelque soit sa préparation. Le meilleur comme le pire. Malheureusement, pour nos trois athlètes engagés sur l'édition 2022 du Marathon d'Amsterdam, les aléas de la course sont venus compliquer leur parcours...

Anthony Hannebique n'a pas eu une préparation facile, effectuant la majorité de ses séances seul. Et sa course ne le fut pas non plus : à partir du 15ème kilomètre, il a souffert d'une contracture au mollet. Mais il a réussi à terminer la course, franchissant la ligne d'arrivée en 4h07'53, à la 6327ème place (2169 SEM).

Pour Arnaud Caille, c'était le marathon de la revanche, suite à son abandon de 2021. Après un début de course avec de bonnes sensations, il a commencé à subir de crampes à partir du 26ème kilomètre. En alternant marche et course, il termine la course en 4h09'13, à la 6510ème place (2217ème SEM).

L'objectif de Patricia Dubois était de 4h45. Les premiers kilomètres se sont bien passés pour elle mais la fin de course fut plus difficile. Elle finit à la 11931ème place (130ème F55) en 5h05'44, néanmoins heureuse d'avoir ajouté cette épreuve à son palmarès.

Un grand bravo à tous les trois, il faut une belle force mentale pour aller au bout d'une si longue épreuve quand un grain de sable vient enrayer la mécanique.

Sur le semi-marathon, on retrouve notre perchiste Tristan Dubois. Le fils de Patricia découvrait la distance et visait un temps de 1h30. Objectif atteint puisqu'il prend la 618ème place (346ème SEM) en 1h29'55.

Bonne récupération à tous les quatre !

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Écrit par : Julien Magnier

Publication : 17 octobre 2022

Mis à jour : 17 octobre 2022

Pourquoi se lever tôt un dimanche pour aller courir ? Certains le font pour se fixer des objectifs et les dépasser, d'autres pour retrouver ou se maintenir en bonne santé ou encore passer un bon moment avec des amis. Les réponses sont donc multiples et toutes sont légitimes.

Le sport peut permettre également de soutenir une cause politique ou humanitaire ou de rendre hommage à des personnes présentes ou disparues. La course de Landas est organisée au profit de la recherche contre le cancer du sein (octobre rose).

Julien Magnier a choisi de courir cette compétition pour rendre hommage à son ami disparu depuis six mois et décédé d'un cancer : Laurent Debever. Le chrono (45'53) est anecdotique, la course fut belle et cela valait bien la peine de se lever un dimanche matin.

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